Le Centre National accueille pour une résidence d’une semaine la compagnie Tout va bien ! autour de son projet Le champ des possibles. A l’issue de cette période de résidence, la compagnie proposera une restitution sous forme d’une balade, à l’intérieur ou à l’extérieur.

Le champ des possibles est une création théâtrale avec le réel de l’espace public, jouée par la troupe de La Mue du Lotus et les interprètes de la compagnie Tout va bien !

C’est une invitation à un public convoqué et aux simples passants, à (re)(ce)voir le réel qui les entoure augmenté d’une parole faite de gestes, de mots et d’émotions improvisés dans l’instant et réinventés sans cesse.

C’est une parole particulière puisque portée par les acteurs en situation de handicap de l’ESAT Théâtre La Mue du Lotus que nous invitons à investir le réel de leur imaginaire décalé et riche de leurs différences, et à se reconnecter avec leur « non-maitrise », avec leur puissance à faire tanguer le bateau du jeu. Ici, tout cela part donc d’eux, individuellement et profondément.

À leurs côtés, les interprètes de la compagnie Tout va bien ! connectés à cette singularité, apportent un autre regard, peut-être plus codé, mais tout autant fragile et singulier.

Ce projet est donc une invitation aux interprètes à être en improvisation dans le réel de l’espace public (dedans ou dehors), à l’endroit précis de leur choix, sans texte ou histoire amenés de l’extérieur ; à une exploration d’un champ possible d’improvisations dans des lieux à chaque fois différents, avec tous leurs possibles de langages sur cette question centrale de leur être au monde.

Vignette(s) est un spectacle qui réunit trois formes chorégraphiques à partir de :

L’oeil, la bouche et le reste (2017), de Volmir Cordeiro

May B (1981), de Maguy Marin

Le soleil du nom (2019), de Bernardo Montet

Pour cette création, Bernardo Montet a invité deux autres grands chorégraphes, Maguy Marin et Volmir Cordeiro, à le rejoindre à travers un geste artistique puissant : transmettre, chacun, un fragment de son répertoire aux interprètes de Catalyse, en s’adaptant à la singularité de ces interprètes uniques. Et ainsi leur offrir d’être détenteur du patrimoine de la danse.

Chaque chorégraphe a donc choisi la pièce qu’il souhaitait leur transmettre et interroge l’idée de transmission, ce qu’elle sollicite du langage, de l’adaptation et de l’imaginaire. Tous sont ouverts et curieux de ce qui va naitre de cette rencontre, là où il ne s’agit pas de « répéter quelque chose qui a déjà été fait », mais bien de re-créer ensemble un geste chorégraphique. Face à des écritures chorégraphiques différentes, les interprètes de Catalyse vont traverser et découvrir l’univers de chacun de ces trois artistes ; et au final, être « le commun » qui réunit ces trois vignettes au sein d’une même création.

La transmission au coeur de ce projet artistique, touche la question plus large de ce qui fait le commun, de ce qui s’exprime et se partage ; ici, sur un plateau de danse.

Vignette(s) est un spectacle qui réunit trois formes chorégraphiques à partir de :

L’oeil, la bouche et le reste (2017), de Volmir Cordeiro

May B (1981), de Maguy Marin

Le soleil du nom (2019), de Bernardo Montet

Pour cette création, Bernardo Montet a invité deux autres grands chorégraphes, Maguy Marin et Volmir Cordeiro, à le rejoindre à travers un geste artistique puissant : transmettre, chacun, un fragment de son répertoire aux interprètes de Catalyse, en s’adaptant à la singularité de ces interprètes uniques. Et ainsi leur offrir d’être détenteur du patrimoine de la danse.

Chaque chorégraphe a donc choisi la pièce qu’il souhaitait leur transmettre et interroge l’idée de transmission, ce qu’elle sollicite du langage, de l’adaptation et de l’imaginaire. Tous sont ouverts et curieux de ce qui va naitre de cette rencontre, là où il ne s’agit pas de « répéter quelque chose qui a déjà été fait », mais bien de re-créer ensemble un geste chorégraphique. Face à des écritures chorégraphiques différentes, les interprètes de Catalyse vont traverser et découvrir l’univers de chacun de ces trois artistes ; et au final, être « le commun » qui réunit ces trois vignettes au sein d’une même création.

La transmission au coeur de ce projet artistique, touche la question plus large de ce qui fait le commun, de ce qui s’exprime et se partage ; ici, sur un plateau de danse.